Le cododo aide-t-il Bébé à faire ses nuits ?

Le cododo, longtemps pratiqué de manière instinctive puis déconseillé par certains professionnels, revient aujourd’hui au centre des discussions sur le sommeil des tout-petits. Cette pratique ancestrale, qui consiste à dormir à proximité de son bébé, soulève de nombreuses questions chez les jeunes parents. Bien sûr, le cododo est-il safe ? et le cododo aide-t-il Bébé à faire ses nuits ?

La réponse est en réalité plus nuancée qu’il n’y paraît, et le timing est central. Le cododo n’a pas le même impact sur un nouveau-né de quelques semaines et sur un bébé de huit mois. Comprendre cette évolution est essentiel pour adapter votre aménagement du sommeil aux besoins changeants de votre enfant.

Cododo et nuits complètes : de quoi parle-t-on exactement ?

Cododo : même lit ou même pièce ?

Lorsqu’on parle de cododo, la probabilité est grande de ne pas se comprendre, car ce mot désigne en fait deux choses différentes.

Il y a, d’une part, la pratique du lit parental partagé avec le bébé, aussi appelée “co-sleeping” et “bed-sharing”. Cette pratique, bien que très intuitive et spontanée, est associée avec une augmentation du risque de mort inattendue du nourrisson (MIN). C’est en particulier parce que le lit parental est souvent un lieu inadapté au nouveau-né : matelas trop mou, oreillers et couettes dans lesquels le bébé peut enfouir ses voies respiratoires ou finir par avoir trop chaud, risque d’écrasement par les parents endormis, etc. Lorsque je parle de cododo, je ne parle jamais du partage de lit, que je vous recommande d’éviter autant que possible.

Je parle donc de l’autre sens de “cododo” : le petit lit bébé en forme de berceau, facile à accoler au lit des parents. Dans un cododo, Bébé dort dans son espace, qui est adapté à ses besoins physiologiques, et à proximité immédiate de ses parents, a minima dans la même pièce qu’eux. Cette organisation est quant à elle associée avec une réduction du risque de MIN et une amélioration de la physiologie du sommeil de Bébé en début de vie. Bébé est apaisé par la présence de ses parents et dort mieux. Le cododo dans ce sens-là, je l’ai pratiqué avec mes deux enfants : jusqu’aux 10 mois de P’tit Gars, et jusqu’aux 3,5 mois de P’tite Nana.

Faire ses nuits : quand peut-on vraiment parler de nuits complètes ?

Faire ses nuits : le graal des jeunes parents. Mais c’est quoi, faire ses nuits ? Dormir 6h, 8h, 12h d’affilée ? Avec ou sans réveil nocturne ? Sur Devenir Parent, on considère que faire ses nuits, c’est dormir 11-12h heures la nuit sans solliciter ses parents.

Les réveils nocturnes sont normaux entre deux cycles de sommeil. D’ailleurs, les adultes en ont aussi, même si on en a souvent aucun souvenir le matin. Ce qui fait toute la différence, c’est si une intervention parentale est nécessaire. Elle peut l’être pour un repas, un change ou pour un accompagnement au sommeil. Un bébé fait ses nuits quand il n’a plus besoin d’être nourri, changé ou rendormi par ses parents (on parle d’endormissement autonome) entre son coucher du soir et son lever le matin.

Le cododo, un allié précieux les premiers mois

Durant les premières semaines et mois de vie, coucher Bébé dans la chambre des parents présente des avantages indéniables.

Santé et sommeil pour Bébé, jusqu’à 6 mois

Avant toute chose, le cododo est bénéfique pour Bébé. C’est pour cela que les autorités de santé le recommandent idéalement jusqu’à 6 mois*. En effet, un bébé qui dort à proximité de ses parents se sent rassuré. Il perçoit leur odeur, entend leur respiration, sent leur présence. Physiologiquement, la proximité des parents régule leur rythme cardiaque, leur respiration et leur température corporelle. C’est en cela que le cododo réduit les risques de MIN.

Et quand Bébé se réveille entre deux cycles de sommeil plusieurs fois par nuit, cette proximité l’aide à se rendormir plus facilement. Il n’a pas ce sentiment d’abandon (dans la nature, un bébé humain seul est un bébé en danger) qui peut survenir quand il se réveille seul dans une pièce vide et silencieuse. Le cododo favorise donc le rendormissement durant cette période où Bébé n’a pas encore acquis les capacités d’auto-apaisement nécessaires pour gérer seul ses micro-réveils.

Praticité et sommeil pour les parents

Ensuite, les réveils nocturnes de Bébé sont inévitables les premiers mois. Son estomac est minuscule, il a besoin de manger fréquemment, y compris la nuit. Les couches pleines nécessitent aussi des changes nocturnes pour éviter l’inconfort et les irritations.

Vous allez de toute façon devoir vous lever plusieurs fois par nuit. A ce stade, la question n’est donc pas « faut-il intervenir ou non ? » mais plutôt « comment rendre ces interventions les moins perturbantes possibles pour tout le monde ? ».

C’est là que le cododo montre toute son utilité. Quand Bébé dort à 50 centimètres de vous plutôt qu’au bout du couloir, tout est plus simple.

Vous entendez ses premiers signaux de réveil (les bruits de bouche, les petits grognements, les mouvements) avant qu’il ne se mette à pleurer franchement. Vous pouvez réagir rapidement, le nourrir ou le changer sans même avoir à vous lever complètement. Bébé se réveille moins et se rendort d’autant plus volontiers.

Idem pour vous, cela vous sort moins de votre nuit. Résultat : vous vous rendormez plus vite et vous êtes moins épuisé le lendemain. En cas d’allaitement, l’avantage est encore plus marqué : pas besoin de se lever du tout, il suffit de se mettre en position pour proposer le sein.


Bébé ne fait pas ses nuits… et vous avez hâte ?

Il suffit parfois d’une idée, une astuce pour changer la donne. Donc chaque lundi, j’envoie exactement ça dans la newsletter Opération Dodo.
Et parce que votre temps est précieux, les emails se lisent en moins d’une minute.


Mais au fil des mois, ce qui facilite le sommeil peut finir par le perturber. Il y a en effet un moment où le cododo, s’il est prolongé, peut devenir un frein plutôt qu’un soutien. Voyons cela !

Quand le cododo devient moins utile, voire contre-productif

Ecueil n°1 : Rester connectés

S’endormir, c’est accepter de se séparer : perdre le contrôle, déconnecter du monde éveillé. Pour un adulte, c’est acquis depuis longtemps. Pour un bébé qui grandit, c’est un apprentissage qui nécessite de développer un sentiment de sécurité intérieure.

Or, quand Bébé dort systématiquement à proximité immédiate de ses parents, il peut avoir du mal à construire cette capacité à s’apaiser seul. La présence parentale devient une condition nécessaire à l’endormissement, plutôt qu’un simple élément rassurant.

Bébé ne développe pas les ressources internes pour gérer ses micro-réveils nocturnes sans vous. Et à chaque transition entre deux cycles de sommeil, si vous n’êtes plus là, il se réveille complètement et vous appelle. S’il a besoin de vous pour s’endormir, il a besoin de vous pour se rendormir.

Ecueil n°2 : Sur-intervenir en cas de réveil nocturne

Quand Bébé est à portée de main, intervenir est très facile… trop facile parfois.

On peut être tenté de proposer le sein dès les premiers bruits de bouche, surtout qu’on en a pris l’habitude dès la maternité, quand on recommande de nourrir Bébé aux premiers signes d’éveil…

Et qui n’est jamais revenu de la cuisine avec un biberon prêt pour trouver Bébé apaisé ? Que faire : donner le biberon avant que Bébé se rendorme vraiment ou laisser faire quitte à jeter le bib’ et en repréparer un quand Bébé râlera de faim dans 45 minutes ? (Ma réponse est claire aujourd’hui, mais face à un dilemne à 3h du matin, on n’est pas toujours apte à prendre la bonne décision ! 😉 )

Bref, si on a du mal à ne pas intervenir, à temporiser pour attendre de voir si Bébé a vraiment besoin de quelque chose, l’éloigner réduit les fausses alertes et vous évite d’intervenir quand vous auriez pu vous en passer.

Ecueil n°3 : Se gêner, voire se réveiller mutuellement

A l’arrivée de Bébé, son sommeil et le vôtre sont légers (attention à l’hypervigilance !). Il faut nourrir aux premiers signes d’éveil, changer la couche plusieurs fois par nuit. On suit l’heure de si près la nuit que les jours et les nuits se confondent un peu. A minima, on prend pleinement conscience du fait qu’une journée, c’est 24h !

Mais à mesure que Bébé grandit, que son sommeil évolue, qu’il rêve en faisant des bruits, que vous ronflez, toussez, vous retournez… Vous pouvez vous gêner mutuellement. Le risque est que votre sommeil ne soit pas aussi réparateur que possible. Et que Bébé soit perturbé dans la consolidation de son sommeil.

Ce qui était une solution pratique devient alors un perturbateur : le cododo génère plus de réveils inutiles qu’il ne permet de réagir légèrement en cas de réveils inévitables.

Alors, comment savoir si le moment de changer est arrivé chez vous ? Quels sont les signaux à repérer ? Voyons ça de plus près.

Comment savoir s’il est temps pour Bébé de dormir ailleurs ?

Pourquoi pas à 6 mois, tout simplement ?

Les autorités de santé recommandent que que les bébés dorment dans la chambre de leurs parents idéalement jusqu’à leurs 6 mois. Pourquoi donc envisager de sortir Bébé de sa chambre avant ou après cela ?

La recommandation indique bien que c’est un idéal. En effet, dormir à proximité de ses parents est physiologiquement bénéfique pour Bébé au moins jusqu’à 6 mois… toutes choses étant égales par ailleurs.

Mais dans la vraie vie, tout n’est pas égal par ailleurs. Dans la vraie vie, partager sa chambre avec un bébé peut gêner votre sommeil, ne plus être possible dans un nouveau logement, déclencher des réactions pénibles chez votre animal de compagnie…

Imaginez que votre sommeil perturbé vous épuise au point de commettre des erreurs dommageables au travail, ou vous irrite au point de développer une dépression post-partum ou de secouer votre bébé. Imaginez que votre vieux chien qui aboie cause des troubles du voisinage et un climat de tension chez vous. Pour Bébé, les bienfaits physiologiques de dormir dans votre chambre ne compenseront pas les dégradations subies en conséquence.

Ces exemples sont volontairement un peu extrêmes pour mettre en avant le fait que votre réalité est plus complexe et floue que la réponse à la question : jusqu’à quel âge le partage de chambre est-il physiologiquement bénéfique au nourrisson ?

Vous, parents, êtes seuls aptes à décider pour votre foyer.

Comment identifier le bon moment ?

L’enjeu est donc d’identifier le moment où les bénéfices du cododo commencent à être contrebalancés, voire dépassés, par ses inconvénients.

Voici quelques signaux qui peuvent vous indiquer qu’il est temps de penser à sortir Bébé de votre chambre :

  • Bébé sait s’endormir et se rendormir seul.
  • Ses réveils nocturnes vous réveillent la nuit, même quand il n’y a pas besoin d’intervenir.
  • Bébé semble s’agiter et être dérangé quand vous venez vous coucher.
  • Il fait généralement des nuits complètes.
  • Vous souhaiteriez avoir des moments d’intimité en couple dans votre chambre et ne vous sentez pas ou plus à l’aise avec Bébé à côté.
  • La présence de Bébé 24h/24 à vos côtés vous pèse ou vous irrite, vous aimeriez pouvoir “couper” un peu.
  • etc.

Dans un mois, Bébé fait ses nuits... et vous aussi ! par Mélanie Vieira - Couverture

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De notre côté, nous avons sorti P’tit Gars de son cododo à 10 mois et de notre chambre à 17 mois. Parce que nous n’avions pas le choix. Nous habitions dans un deux-pièces parisien, nous n’avions pas d’autre pièce où dormir ! Et nous sommes passés à un petit lit bébé à 10 mois seulement pour la même contrainte de place : un cododo est moins encombrant qu’un lit bébé.

Ptite Nana, elle, est arrivée dans une maison de plein pied comptant trois chambres et elle a fait ses nuits beaucoup plus tôt : à 3,5 mois. Il y avait de la place dans notre chambre, elle aurait pu y rester, mais nous avons constaté que nous la dérangions en venant nous coucher le soir. Nous avons donc fait le test de la sortir de notre chambre. Test réussi, c’est donc resté ainsi.

En bref : faites évoluer le cododo au bon moment pour vous

Vous l’avez compris, faire ses nuits n’est pas une performance à atteindre à tout prix, mais une étape naturelle du développement qui survient quand l’enfant est physiologiquement prêt et que les conditions sont réunies. Et le cododo accompagne cette maturation plutôt qu’il ne la contrarie, à condition de savoir adapter la formule au bon moment.

Faites confiance à votre intuition de parent : si vous avez l’impression que votre présence nocturne stimule plus qu’elle n’apaise, si les réveils mutuels se multiplient, c’est probablement le signe qu’une transition est nécessaire. À l’inverse, si votre bébé dort paisiblement à vos côtés et que votre propre sommeil est préservé, il n’y a aucune urgence à changer vos habitudes. Le meilleur aménagement est celui qui convient à toute la famille.

Bonus : et si je ne peux pas sortir Bébé de la chambre ?

Nous avons gardé P’tit Gars dans notre chambre jusqu’à ses 17 mois parce qu’il n’y avait pas d’autre option. Que faire pour gérer les difficultés d’un sommeil partagé dans la même chambre si on ne peut pas s’y soustraire ?

Utiliser l’occasion des siestes

Pour ce qui est de la gestion de la séparation, c’est l’apprentissage de l’endormissement autonome qui est la clé… en journée ! Entre 0 et 6 mois, Bébé fait de nombreux sommeils en journée et chaque sieste donne l’occasion de le coucher dans son lit. Certaines siestes ne s’y prêtent peut-être pas mais l’endormissement autonome peut s’apprendre sans que chaque coucher se fasse systématiquement dans un lit à distance des parents. Alors n’hésitez pas à proposer quand vous le pouvez, ça suffit le plus souvent.

Temporiser les interventions

Pour la tentation de sur-intervenir, je l’évoquais directement : la clé est de temporiser. Attendez toujours quelques secondes ou quelques minutes pour vous assurer qu’il y a un vrai réveil et un vrai besoin auquel répondre, qu’il ne s’agit pas juste d’un micro-éveil normal entre deux cycles qui peut se résoudre de lui-même : Bébé se rendort, tout simplement.

Faire de petits aménagements

Enfin, pour ce qui est de se gêner mutuellement, si on ne peut pas sortir Bébé de la chambre, on peut faire de petits aménagements : l’éloigner du lit parental, poser un paravent, se brosser les dents en début de soirée, tamiser la lumière quand on vient se coucher, etc. A vous de voir ce qu’il est possible de faire dans votre organisation à la maison.

A lire aussi sur le sommeil de Bébé

Mes sources

*Haute Autorité de Santé (HAS) et Conseil National Professionnel de Pédiatrie (CNP Pédiatrie)

Ameli.fr

Réseau Morphée

Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) & Candide Baby Group

Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV)

Esthel O.

  • Les secrets d’un sommeil autonome. [Ebook auto-publié en 2021 sur reverseveiller.com]
  • Donner un rythme à bébé de 0 à 6 mois. [PDF partagé en 2020 sur reverseveiller.com]

FAQ

Le cododo est-il dangereux pour le nourrisson ?

Non, pratiqué avec un lit adapté, le cododo distinct du lit parental est considéré comme sûr. Il est même recommandé par les autorités de santé jusqu’à 6 mois car il réduit les risques de MIN. C’est le partage du lit adulte qui pose problème, pas le partage de la chambre.

Quelle est la différence entre cododo et co-sleeping ?

Le co-sleeping désigne le fait de partager le lit parental avec bébé. Cette pratique est déconseillée car elle augmente les risques de mort inattendue du nourrisson. Le cododo, au sens retenu ici, consiste à faire dormir bébé dans un petit lit accolé à celui des parents, ou au moins dans la même pièce, dans un espace qui lui est propre et sécurisé.

Jusqu’à quel âge est-il recommandé de pratiquer le cododo ?

S’il s’agit de faire dormir Bébé dans la chambre (et non dans le lit) des parents, idéalement jusqu’à 6 mois, selon les recommandations de santé publique. Toutefois, ce seuil est indicatif. Il est important d’adapter la pratique aux besoins de bébé et au contexte familial : certains bébés dorment dans la chambre parentale plus longtemps, d’autres moins.

Peut-on apprendre à bébé à s’endormir seul en pratiquant le cododo ?

Bien sûr, surtout si l’on profite des siestes pour favoriser l’endormissement autonome dans un autre contexte. Il est possible d’aider Bébé à développer ses capacités d’auto-apaisement tout en dormant dans la même pièce la nuit.

Le cododo aide-t-il Bébé à faire ses nuits ?

Oui et non. Le cododo facilite globalement les nuits de Bébé à la naissance et durant les premiers mois. La proximité des parents l’apaise et favorise son rendormissement. En revanche, selon comment il est pratiqué dans les mois qui suivent, il peut freiner l’acquisition de l’endormissement autonome et réduire la probabilité que Bébé fasse ses nuits. Il suffit alors d’ajuster certains comportements ou organisations du logement pour débloquer cette acquisition naturelle.

Le cododo freine-t-il l’endormissement autonome ?

Il peut, à terme. À mesure que bébé grandit, la présence constante des parents peut devenir une condition pour s’endormir. Cela peut freiner le développement de sa capacité à s’apaiser seul lors des micro-réveils nocturnes. Il est alors utile d’introduire progressivement l’endormissement autonome, notamment pendant les siestes.

Comment savoir si le cododo ne convient plus ?

Certains signes peuvent indiquer que le cododo est devenu contre-productif : Bébé est facilement réveillé par les bruits des parents, il semble agité au moment du coucher, ou vous-même ressentez une gêne ou une fatigue accrue. Ces signaux suggèrent qu’une transition pourrait être bénéfique.

Comment passer du cododo au lit dans une autre pièce ?

Le changement peut se faire progressivement. Commencez par éloigner le lit de Bébé dans la chambre, puis testez quelques nuits dans une autre pièce. Soyez à l’écoute des réactions de votre enfant et assurez-vous qu’il est prêt : endormissement autonome, nuits globalement complètes, etc.

Que faire si on ne peut pas sortir bébé de la chambre ?

Si le cododo doit se poursuivre (faute de place, par exemple), on peut réduire ses inconvénients. On peut éloigner le lit de Bébé, poser un paravent, limiter les interventions nocturnes inutiles ou introduire l’endormissement autonome en journée. Ces ajustements aident à préserver le sommeil de toute la famille.

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